Comme pour toutes les motos, la suspension sur un pit bike permet d’adoucir les chocs qui se produisent lorsque l’engin traverse un trou, un nid de poule ou qu’il traverse une bosse. La suspension est fondamentale sur un terrain irrégulier, une piste de terre ou une route accidentée ainsi que sur les chaussées en mauvais état. Elle garantit, sur ce type de « sol », le confort et la sécurité du conducteur tout en protégeant la mini moto. Voici une présentation des deux pièces principales d’une suspension.
La fourche de suspension
À l’avant du pit bike, la suspension est assurée par la fourche de suspension. Il est composé d’un tube de fourche, d’un roulement, d’un joint à lèvre (également appelé « joint SPI ») et d’un fourreau. Sur https://www.wkx-racing.com/115-suspension-pit-bike-dirt-bike vous en trouverez différents modèles. La fourche de suspension est accrochée au té de fourche, lequel accueille le pontet de guidon. Cette fixation, localisée dans le haut du pit bike, n’est pas suffisante. Une deuxième fixation est réalisée avec les bas de fourche, au niveau de la roue. Pour que la fourche de suspension fonctionne sans encombre, il est nécessaire de l’huiler. Le rôle du roulement et du joint à lèvre est d’éviter que cette huile ne déborde du fourreau. Plus une mini moto va vite, plus la fourche de suspension joue un rôle fondamental, surtout sur une route en mauvais état. Sans la fourche, le conducteur peut ne plus contrôler son guidon. Pire, il peut rater le freinage de la moto. En outre, une fourche qui fonctionne très bien contribue à la protection du moteur ainsi que du cadre. Il en résulte une longévité appréciable de ces deux éléments.
L’amortisseur
À l’arrière du pit bike, la suspension est assurée par un amortisseur, comme ceux qui sont présentés sur https://www.styx-racing.com/les-amortisseurs-styx-racing-pour-pit-bike/. La fixation de cette pièce se fait également à deux endroits : d’une part au niveau du cadre de la mini moto, d’autre part, au niveau du bras oscillant. L’amortisseur est une pièce stratégique pour la moto. Lors de l’entretien et du contrôle de la moto, l’amortisseur ne doit pas être ignoré. Sa vérification se fait en contrôlant plusieurs valeurs : la détente (la vitesse à laquelle l’amortisseur remonte), la compression (la vitesse à laquelle l’amortisseur s’affaisse), la précharge (on l’appelle aussi pré-contrainte), la course morte. L’amortisseur est composé de plusieurs parties : la molette de réglage, le corps de l’amortisseur, le piston, le ressort, la tige. Tous ont un rôle bien précis dans le fonctionnement de l’amortisseur. Sans la tige, par exemple, l’amortisseur sera incapable de sentir les mouvements de la roue. Or, ce sont ces mouvements qui déclenchent son entrée en action. Le ressort permet à la moto de retrouver son assiette originelle, une fois que l’amortissement est achevé. Autre notion à connaître lorsqu’il s’agit d’amortisseur, c’est le laminage. Ce dernier désigne les flux d’huile au sein de l’amortisseur. Sans ces flux, ce dernier ne peut fonctionner normalement.
Ainsi, pour votre confort et votre sécurité, de temps en temps, vérifiez la suspension et l’amortisseur de votre pite bike. N’hésitez pas à les remplacer si nécessaire.