L’objectif d’une réglementation pour la circulation des trottinettes électriques

Il faut d’abord faire la différence entre les utilisateurs d’EDP non motorisés, du genre trottinettes classiques, rollers et skate-board et compagnie et ceux qui sont motorisés, trottinettes électriques, monoroues, hoverboards, gyropodes, etc. Les premiers sont assimilés à des piétons et ont le droit de circuler sur les trottoirs et sur les autres espaces pour piétons. Les seconds, à la base, ne pouvaient circuler que des espaces privés ou fermés à la circulation. L’objectif de la nouvelle réglementation est donc de créer un cadre qui permet d’assurer la sécurité des utilisateurs de ces engins motorisés et des autres usagers de la route. Le gouvernement vise également au développement de ces EDP nouvelle génération.

Les règles pour les trottinettes électriques

Il s’avère que les règles pour les trottinettes électriques sont les mêmes que celles pour les cyclistes, mais avec tout de même quelques spécificités. En voici l’essentiel : il faut avoir au moins 8 ans pour conduire une trottinette électrique et adopter un comportement prudent. L’usage doit être exclusivement personnel et le port d’écouteurs est interdit. Le port du casque est obligatoire pour ceux âgés de moins de 12 ans et de nuit, les utilisateurs doivent porter un vêtement ou un équipement rétro-réfléchissant, brassard ou gilet. Tout EDP motorisé doit avoir des feux avant et arrière, des catadioptres, un klaxon et un frein. Il est interdit de circuler sur les trottoirs et hors agglomération, la circulation sur la chaussée.

Passer l’examen du Code de la route est une étape incontournable pour obtenir son permis de conduire. Pour réussir cette épreuve, il est essentiel de connaître les notions importantes et de bien les comprendre. Mais au-delà de la simple mémorisation des règles, il est également crucial d’apprendre à les appliquer dans la vie réelle. Dans cet article, découvrez les différentes stratégies pour mettre en pratique les concepts du Code de la route et améliorer ainsi vos compétences de conducteur.

Maîtrisez les questions types de l’examen

Avant de vous lancer dans la mise en situation, il est nécessaire de maîtriser les questions de l’examen du Code de la route. Ces questions portent généralement sur des thèmes tels que la sécurité routière, les infractions, les panneaux de signalisation ou encore les distances de sécurité. Pour vous entraîner, vous pouvez consulter des livres spécialisés ou utiliser des applications mobiles dédiées. Vous pouvez également suivre des cours en ligne qui proposent des exercices interactifs adaptés à votre niveau ainsi que des examens blancs. Ainsi, avant de passer l’examen du code de la route, il est crucial d’assimiler pleinement et de maîtriser les différentes catégories de questions.

Entraînez-vous à identifier les situations dangereuses

Au-delà de la simple connaissance des règles, il est important de développer votre capacité à identifier les situations potentiellement dangereuses sur la route. Cela implique d’analyser rapidement votre environnement, de repérer les usagers vulnérables (piétons, cyclistes, etc.), et d’anticiper les comportements à risque.
Pour vous exercer, vous pouvez utiliser des simulateurs de conduite en réalité virtuelle qui mettent en scène diverses situations de circulation. Vous pourrez ainsi vous familiariser avec les bons réflexes à adopter face à chaque type de danger.

Pratiquez la conduite accompagnée

La conduite accompagnée est une excellente manière de mettre en application les concepts du Code de la route tout en étant encadré par un conducteur expérimenté. Cela vous permettra de vous exercer à la mise en situation réelle et de prendre confiance en vos compétences de conducteur. N’hésitez pas à demander à votre accompagnateur de vous poser des questions sur le Code de la route pendant que vous conduisez, afin de tester vos connaissances en temps réel.
Les bénéfices de la conduite accompagnée :
● Permet de gagner en expérience de conduite,
● Aide à développer les bons réflexes au volant,
● Favorise l’apprentissage des règles de sécurité routière dans un contexte réel,
● Permet d’être encadré et conseillé par un conducteur expérimenté.

Prenez le temps de bien assimiler les notions importantes

Afin de concrétiser les principes du Code de la route, il est essentiel de maîtriser parfaitement les notions fondamentales telles que les distances de sécurité, les vitesses limites et les règles de priorité. Pour ce faire, consacrez du temps à une relecture régulière de votre manuel de code ou de vos fiches de révision, et n’hésitez pas à solliciter votre moniteur d’auto-école en cas de doutes concernant certaines notions.
Voici quelques notions importantes à maîtriser :
● Les règles de priorité (à droite, rond-point, etc.),
● La signalisation routière (panneaux, marquages au sol, feux tricolores),
● Les limitations de vitesse en fonction du type de route et des conditions météorologiques,
● Les distances de sécurité à respecter entre les véhicules,
● Les règles concernant l’usage des clignotants et des feux de détresse.

Entraînez-vous régulièrement et variez les situations de conduite

Afin de bien intégrer et appliquer les concepts du Code de la route, il est impératif de s’adonner régulièrement à des séances d’entraînement variées en situation de conduite. En effet, en vous confrontant à divers scénarios concrets, vous renforcerez considérablement votre compréhension des règles ainsi que vos réflexes adéquats. Par exemple, expérimentez la conduite nocturne, sous la pluie, sur autoroute ou en zone urbaine, afin de vous familiariser avec les particularités de chaque contexte.
En conclusion, mettre en pratique les concepts du Code de la route nécessite un travail sérieux et régulier, qui va bien au-delà de la simple mémorisation des règles. En multipliant les expériences et les situations de conduite, en vous entraînant à identifier les dangers potentiels et en prenant le temps d’assimiler les notions importantes, vous serez non seulement mieux préparé pour l’examen du code, mais également plus sûr de vous au volant.

Quels sont ses avantages d’avoir un scooter électrique ?

Le premier bon point à retenir concernant les scooters électriques est le fait qu’il n’émet pas de sons bruyants. Les vibrations qu’ils dégagent sont beaucoup moins importantes par rapport aux scooters thermiques. Si on parle d’une moyenne de 26 km qui est l’équivalent d’un trajet domicile travail, les scooters électriques sont parfaits. Ils sont nettement plus confortables car le silence réduit le taux de stress. Sur le plan de l’entretien, ces deux roues électriques ne nécessitent pas autant de soins que les scooters thermiques et c’est pour cela que les hommes les aiment. La partie motrice des scooters électriques n’est composée que d’un moteur intégré dans la roue arrière. Ils ont aussi une batterie et un contrôleur électronique qui sont plus simples à entretenir. Les problèmes de distribution, de chaîne et de courroie que rencontrent souvent les motards en scooters thermiques ne sont pas trouvés dans les scooters électriques. Ils gagnent énormément de points en ce qui concerne l’économie, particulièrement en ce moment avec l’augmentation conséquente du prix des carburants. N’importe qui préférerait dépenser 0,20 € pour une recharge utilisable sur une soixantaine de kilomètres au lieu de 10 € pour une centaine.

Quels sont les problèmes liés aux scooters électriques ?

Les gens optent pour les scooters électriques dans le premier but de réduire les gaz polluants, cependant, il faut savoir que les composants chimiques de sa batterie ont un potentiel polluant tout aussi important. En terme de rapidité, les scooters électriques ne sont pas encore optimisés. Il faut beaucoup de temps aussi pour le recharger. En effet, il faut au moins une demi-heure pour recharger à bloc la batterie d’un scooter électrique. Cette batterie rechargeable en une demi-heure n’est pourtant pas encore accessible au grand public. Pour ce qui est de l’autonomie, vous préférerez certainement les scooters thermiques car les scooters électriques ne sont pas très autonomes sur une distance de plus de 26 km et les bornes à recharge n’existent pas sur tous les parcours.

La gamme Renault Clio

Il n’y a pas à dire, la Renault Clio surpasse toutes les autres marques dans le classement. Bien qu’elle ait remplacé la Supercinq à l’occasion du 30e anniversaire de la marque, la Renault Clio est le modèle précurseur des véhicules polyvalents. Grâce à elle, les consommateurs peuvent désormais la retrouver en version électrique.

C’est une citadine particulièrement appréciée des automobilistes qui recherchent un véhicule facile à manier. Il en existe différents modèles commercialisés sur le marché. Chacun d’entre eux détient ses propres avantages, il est donc certain que vous trouverez votre bonheur.

Les modèles Renault Clio

La Renault Clio a fait du chemin depuis la première version. Toutefois, elle reste la gamme la plus emblématique et la meilleure que la marque ait jamais créé. Si la première version était minimaliste et passait presque inaperçue, c’est à partir de la deuxième version que la légende s’est forgée.

La Renault Clio II

La Renault Clio deuxième génération a connu un succès inattendu de la part des consommateurs. La preuve, elle a été la voiture la plus vendue de 1998 à 2000 et revient encore sur le devant de la scène en 2023. Sa renommée s’est faite grâce à sa direction assistée, ses vitres teintées et ses airbags. La Renault Clio II est encore en production sous le nom de Clio Moi et est idéale pour les jeunes automobilistes.

La Renault Clio III

Forte de la bonne pub que son prédécesseur lui donne, la Renault Clio troisième génération entre dans le marché de l’automobile avec de nouveaux concepts et son style consensuel. La Renault Clio III est appréciée des automobilistes qui aiment collectionner les voitures ayant une bonne motorisation et un beau design. C’est une sportive magnifique qui fait rêver de nombreux automobilistes raffolant de puissance. Cette Renault Clio dévale 0 à 100 km/h en 6,9 secondes. Plus qu’une citadine, c’est un super car.

La Renault Clio IV

La Renault Clio quatrième génération signe l’entrée du concessionnaire dans le futur. Elle fait partie des premiers véhicules à avoir un design futuriste, bien que pas trop poussé. Ce concept a rajeuni la marque automobile aux yeux de nombreux routiers. Cette quatrième version est sublime, tout en restant bestiale dans la puissance qu’elle détient sous son capot. La Renault Clio IV se rapproche un peu plus du parfait équilibre entre le design et l’esthétique que la marque souhaite atteindre.

La Renault Clio V

La Renault Clio V est classée comme étant la meilleure voiture que le constructeur français n’ait jamais produite de nos jours. Cette citadine est commercialisée depuis avril 2019 et n’a pas tardé à se frayer un chemin sur le marché de l’automobile moderne. La Clio V est la cinquième génération de la gamme Clio, mais elle est surtout la plus vendue au monde. Acheter une voiture Renault vous offre tous les avantages d’une citadine nouvelle génération et s’adapte à toutes vos envies.

La particularité de cette Renault réside dans son design gris schiste qui flirte entre le contemporain et l’élégance. Elle détient des lignes sensuelles et un profil aérodynamique qui n’a rien à envier aux autres citadines de luxe. Son éclairage LED puissant et esthétique permet aux conducteurs de profiter d’une expérience de conduite paisible, même la nuit ou dans un brouillard. En outre, son système de freinage d’urgence est idéal pour les jeunes conducteurs.

Également disponible en format hybride, Clio V a rapidement conquis le cœur des usagers de la route. Ses démarrages systématiques en traction électrique font en sorte de vous faire économiser l’essence, surtout que vous pouvez rouler à 80 % du temps avec son moteur électrique. Une caractéristique qui fait en sorte que les commandes du concessionnaire augmentent de façon faramineuse, surtout avec le prix du carburant en hausse. Vous voulez économiser plus de 40 % de votre consommation de carburant ? Achetez impérativement la Renault Clio V !

L’intérieur de cette citadine est aussi un de ses points forts. Le système multimédia Easy link intégré dans la Clio V vous permettra de conduire, tout en écoutant de la musique en fond, comme dans un film de James Bond.

1. Le concessionnaire

Le concessionnaire est le mot que vous entendez souvent lorsqu’il s’agit de vendeur de voitures. Il désigne une entité qui a acquis un droit de vente exclusif d’une marque d’automobile (neuve et d’occasion) dans un lieu donné. Le concessionnaire est donc une sorte de représentant de la marque dans le pays comme le cas du concessionnaire MG en France. C’est aussi un intermédiaire entre le fabricant et les clients. Quand vous vous rendez chez un concessionnaire, vous ne trouverez qu’une seule marque dans leur point de vente physique.

Sachez que les prix affichés n’ont pas été définis par celui-ci, mais par le propriétaire de la marque lui-même. Vous aurez peut-être un choix limité chez un concessionnaire, mais ce qui est sûr, c’est que vous serez accompagné par des professionnels qui connaissent parfaitement la gamme proposée. Mis à part la vente, le concessionnaire propose aussi d’autres services : réparation, entretien, vente de pièces détachées, etc. Pour l’achat d’un véhicule neuf, le concessionnaire offre également une garantie constructeur.

2. Le mandataire automobile

Le mandataire automobile est également un vendeur de voitures neuves et d’occasion. Mais il est différent du concessionnaire sur quelques points. Premièrement, le mandataire peut avoir un point de vente en ligne en plus du point de vente physique. Puis, il ne propose pas qu’une seule marque. Il peut obtenir différents types de véhicules auprès de différents réseaux : constructeurs, fournisseurs, grossistes, déstockage de voitures invendues de concessionnaires, etc. Il se charge de la négociation du prix auprès de ces fournisseurs.

Par la suite, il définit lui-même les prix de vente des véhicules. Ses services ne se limitent pas non plus à la vente, il y a également : un accompagnement durant les formalités administratives d’immatriculation, les options de financement, un SAV équivalent à celui du concessionnaire, etc. Enfin, comme les règlements européens l’exigent, les voitures proposées sont aussi couvertes par la garantie constructeur comme chez le concessionnaire.

Quels sont avantages d’un véhicule électrique ?

Utiliser une voiture électrique présente de nombreux avantages :

• La rentabilité : Si l’on considère sa consommation et son entretien, un véhicule électrique est bénéfique par rapport à une auto thermique. À titre illustratif, pour le même modèle de voiture (électrique et thermique) qui parcourt 10 000 km, le modèle électrique permet de faire une économie de 800 euros par an comparé au modèle thermique. Qui plus est, la motorisation électrique ne requiert que très peu d’entretien.

• Le confort de la conduite : Un quatre-roues électrique est silencieux et dépourvu de boîte de vitesses. Aussi, la motorisation donne la possibilité de faire des accélérations performantes même au démarrage. La recharge est particulièrement simple et sans odeur.

• La portée écologique : La voiture électrique n’émet pas de gaz à effet de serre, ce qui permet de préserver l’environnement. Elle devient ainsi la voiture nouvelle génération la plus appréciée de tous.

• La liberté de circulation : Le ministère de la Transition écologique et solidaire a mis en place le label CRIT’Air afin de classer les véhicules selon leurs émissions polluantes. Les seules voitures éligibles à ce nouveau dispositif sont les quatre-roues électriques et les voitures hybrides.

Quel est le prix d’une voiture électrique ?

Le tarif des véhicules électriques varie suivant la marque et le modèle, mais aussi la catégorie.

•Citadine électrique : Ce segment de voiture qui est réservée à une utilisation urbaine et péri-urbaine n’excède pas généralement plus de 4,10 mètres. Son prix est compris entre 19 200 et 45 000 euros.

• Berline électrique : Cette catégorie de véhicule est appréciée par de nombreuses automobilistes. Spacieuse et confortable, elle est parfaite pour les déplacements en famille et les longs trajets. Le tarif d’une berline électrique est compris entre 16 000 et 130 000 euros.

• SUV électrique : Ce segment d’auto se veut d’être spacieux, confortable et polyvalent. Il est très agréable à conduire et moins gourmand en carburant. Ce type de véhicule est accessible à partir de 27 000 euros. Comme la Aiways U5 prix peut coûter dans les 44 000 euros. Certains modèles haut de gamme peuvent même aller jusqu’à 100 000 euros.

• 4×4 électrique : C’est une voiture destinée à rouler sur des terrains non praticables. Comme son nom laisse déjà entendre, ce quatre-roues intègre 4 roues motrices. Il faut prévoir entre 29 000 et 150 000 euros pour l’acheter.

Une plus grande autonomie pour profiter de la route

Si auparavant, les véhicules électriques ne pouvaient vous proposer que quelques kilomètres d’autonomie, désormais, ce n’est plus le cas. Certaines peuvent parcourir plusieurs centaines de kilomètres sans nécessiter une recharge. De quoi vous permettre de mieux profiter de la route, voire de vous organiser comme il se doit pour les prochaines vacances.

Des systèmes d’aides à la conduite pour faciliter la prise en main

Pour les conducteurs novices, investir dans les nouvelles voitures électriques peut également être une bonne idée. Grâce à leur système d’aides à la conduite, vous aurez une plus grande facilité de prise en main. Park assist, aide au maintien dans la voix, alerte somnolence, système de freinage d’urgence, caméra de recul, etc. : les grandes marques ne reculent plus devant rien pour minimiser les accidents de la route et vous assurer un peu plus de sécurité pendant vos déplacements.

Un confort et un style de plus en plus travaillé

Enfin, outre le design exceptionnel extérieur de ces voitures, elles vous proposent aussi un confort intérieur inégalé. De quoi vous aider à mieux vous concentrer et à profiter de vos voyages. Cuir haut de gamme, habitacle moderne, des courbes divines et un silence de cathédrale à l’intérieur avec un système de suspension ultra performante : les voitures électriques ont su convaincre les petits et les grands, et même ceux qui ne pensaient pas un jour troquer leur grosse berline contre une voiture écologique.

Un véhicule écologique et confortable

Le premier point fort des motos électriques est bien sûr le fait qu’elles soient plus écologiques. Elles fonctionnent à l’aide d’une batterie que vous devez recharger. Elle ne diffuse donc ni CO2 ni bruits assourdissants. Ce qui contribue à améliorer les conditions de vie dans les grandes villes.
En termes d’autonomie, les constructeurs de ce genre de bolide ont fait, au fil des années, énormément d’effort. De quoi vous assurer un maximum de confort de conduite.

Certains se conduisent sans permis de conduire

Alors que les motos mécaniques exigent désormais l’utilisation des permis de conduire, une certaine gamme de moto électrique peuvent s’utiliser sans permis. C’est le cas notamment des véhicules légers qui sont considérés comme des moyens de locomotion électrique autonome à l’image des vélos électriques ou autre.
Pour autant, faites attention, il existe des gammes de moto électrique qui sont ultra puissante et qui nécessite tout de même un permis de conduire. Quand vous faites vos courses, demandez directement à votre vendeur.

Un véhicule pour le moins économique et stylé

Et ne vous y trompez pas ! Depuis la sortie de la première version de moto électrique, les modèles se sont modernisés et sont devenus de plus en plus stylés. Les marques peuvent vous en proposer de toutes sortes.
Sans compter que, peu importe le modèle de votre choix, vous allez faire davantage d’économie avec un véhicule de ce genre. Vous évitez les carburants et les entretiens compliqués et qui coutent cher. Les bornes électriques de rechargement ne vous couteront que quelques dizaines d’euros seulement.

Etre transparent

L’un des secrets pour vendre votre véhicule à un prix avantageux est d’être transparent. Il est important de faire comprendre à l’acheteur les raisons de votre prix. Pour cela, vous devez faire en sorte que votre voiture ait un bon profil. Néanmoins, il faut éviter de cacher les petits défauts. En effet, avec une annonce trop parfaite, vous allez susciter de la méfiance à l’égard de votre produit. Vous devez monter votre quatre-roues tel qu’il est. Cela implique donc que vous soyez transparent en ne cachant pas les petites imperfections.

Mettre l’accent sur la politesse

Cela peut paraitre insignifiant pour certaines personnes, mais sachez que la politesse est la clef pour ouvrir la porte à la négociation. Il est nécessaire d’être courtois avec un acheteur potentiel. Vous devez être compréhensif et à l’écoute de ses angoisses. Sachez que l’acheteur va faire une grosse dépense. Comme quoi il vous faut le rassurer sur son investissement.

Faire de multiples propositions

C’est une technique pour obliger la personne à craquer pour votre produit. En faisant de multiples propositions, vous allez dire de manière subtile à votre interlocuteur qu’il n’est pas le seul à s’intéresser à ce que vous vendez. Avec un rappel de temps en temps (sans pression), vous allez vendre plus rapidement votre voiture. Il faut rappeler que l’acheteur va réaliser un investissement conséquent. Il doit bien réfléchir avant de se décider. Votre tâche consiste donc à rester ferme et à faire comprendre les intérêts des deux parties.

Valoriser vos arguments

La valeur de votre voiture auquel vous avez fixé ne ressort pas du hasard. Vous avez au préalable effectué une estimation en tenant compte de plusieurs paramètres. Pour convaincre un acheteur, vous devez faire valoir vos arguments en montrant par exemple que vous avez un faible kilométrage ou vous avez réalisé un remplacement d’une grosse pièce. Une finition particulière peut également servir d’argument pour une plus-value conséquente.

La voiture électrique

Développés à partir des années 2010, les véhicules électriques prennent de plus de plus de place dans la composition du parc automobile en France. Ces types de voitures sont alimentés par une batterie lithium. Facile à utiliser, il n’est pas alors étonnant que chaque année il existe des milliers de quatre-roues électriques immatriculés. Ce qui a contribué à la démocratisation des autos électriques est l’essor des bornes de recharge sur tout le territoire français.

La voiture hybride

Les voitures hybrides sont aussi très appréciées des automobilistes. Elles embarquent à la fois une motorisation thermique et électrique. En outre, on peut aussi distinguer 3 catégories de voitures hybrides, à savoir l’hybride léger, le 100 % hybride et l’hybride rechargeable. C’est un excellent moyen pour passer la transition en douceur. Notez que les quatre-roues hybrides bénéficient des aides à l’achat.

La voiture hydrogène

C’est un véhicule qui est encore très peu connu du grand public. Appartenant à la catégorie des voitures électriques, celle-ci se démarque par une batterie alimentée par une pile à combustion. Cette dernière produit de l’électricité et de l’eau en convertissant l’hydrogène. Néanmoins, il n’existe que peu de modèles de ce genre de voiture en France. De plus, le pays ne possède qu’une centaine de stations hydrogène avec des tarifs élevés.

La voiture GPL

Une voiture GPL possède une biocarburation. Autrement dit, elle a deux réservoirs : l’un pour l’essence et l’autre pour le GPL (Gaz Pétrole Liquéfié). Mais son principal avantage réside dans le fait que le coût au kilomètre est faible. Même si le moteur GPL consomme plus de carburant, cela est compensé par le tarif avantageux du litre. Tout comme les voitures électriques et hybrides, les véhicules GPL bénéficient de nombreux avantages fiscaux. Mais malheureusement, on ne retrouve que peu de stations de réapprovisionnement en France.

La voiture GNV

Les autos GNV utilisent le Gaz Naturel Vert. C’est une voiture qui est aussi moins connue du grand public. Les études ont démontré que les moteurs GNV rejettent dans l’atmosphère environ 25 % de CO2 en moins par rapport aux moteurs thermiques. Pour inciter les gens à opter pour ces véhicules, l’État a assoupli les mesures fiscales. Toutefois, les constructeurs ne produisent que très peu de modèles de quatre-roues GNV.